Does it not appreciate the fact that both Johnson and Charest were there on the front lines, while the Prime Minister was out in Western Canada, fund-raising and admonishing his troops not to worry about a thing, only to return five days before the referendum saying, " I am in a panic mode; save us" ?
Ne se rend-il pas compte que Johnson et Charest étaient aux premières lignes alors que le premier ministre était dans l'Ouest du Canada, occupé à recueillir des fonds et à exhorter ses troupes à ne pas se faire de souci, puis que, revenant cinq jours avant le référendum, il leur disait: «Je suis tout paniqué; sauvez-nous»?