The irony of this situation, and clearly why we need this new legislation, is that when finally released this woman found that she owed her trafficker a further $4,000 for legal and bail fees because the only person she knew in Canada, and therefore the person she asked for help, was indeed her trafficker.
L'ironie de la situation, qui montre bien pourquoi nous avons besoin de ce projet de loi, est que lorsqu'elle a finalement été libérée, la jeune femme a découvert qu'elle devait 4 000 $ de plus à son trafiquant pour le cautionnement et les frais juridiques car c'était la seule personne qu'elle connaissait au Canada et la seule, par conséquent, à laquelle elle pouvait demander de l'aide.