In December 2013, the Supreme Court of Canada ruled unanimously that the Criminal Code imposes dangerous conditions on sex workers, which contravenes the Canadian Charter of Rights and Freedoms. The sections prohibiting brothels, living on the avails of prostitution and communicating in public with clients threaten sex workers’ right to security of the person.
En décembre 2013, la Cour suprême du Canada a unanimement jugé que le Code criminel imposait des conditions dangereuses aux travailleuses et aux travailleurs du sexe, ce qui contrevient à la Charte canadienne des droits et libertés puisque les articles qui interdisent de tenir une maison de débauche, de vivre des produits de la prostitution et de communiquer dans le but de se livrer à la prostitution portent atteinte aux droits des travailleurs et des travailleuses du sexe et à la sécurité de leur personne.