When the Canadian Tourism Commission moved from Ottawa to Vancouver, I expressed my fears in my annual report last year that it would be more difficult for the commission to serve Canadians in both official languages because it was transferring out of the National Capital Region, a bilingual region, to a region where employees do not have the right to work in French.
Quand la Commission canadienne du tourisme a déménagé d'Ottawa à Vancouver, j'ai exprimé mes craintes dans mon rapport annuel, l'année dernière, qu'il serait plus difficile pour la commission de servir les Canadiens dans les deux langues, étant donné son transfert d'une région bilingue, la région de la capitale nationale, à une région où les employés n'ont pas le droit de travailler en français.