Selon les pétitionnaires, les chevaux sont principalement élevés pour des activités sportives
ou comme animaux de compagnie, et non pour la production alimentaire, et on leur donne des médicaments dont l'utilisation est, en tout
temps, strictement interdite chez tous les autres animaux destinés à l'alimentation humaine. Toujours selon les pétitionnaires, les produits de viande chevaline canadiens destinés actuellement à la consommation humaine et vendu
...[+++]s sur les marchés intérieurs et internationaux contiennent donc vraisemblablement des substances interdites.