The Commission increased the fines by 50% for Eni, Shell and Bayer because they were repeat offenders – they had already been condemned by the Commission for cartels in the polypropylene, PVC and citric acid sectors (see IP/86/191, IP/94/732 and IP/01/1743).
La Commission a majoré de 50 % les amendes infligées à Eni, Shell et Bayer, car il s'agit de récidivistes, déjà condamnées par la Commission pour des ententes dans les secteurs du polypropylène, du PVC et de l'acide citrique (voir IP/86/191, IP/94/732 et IP/01/1743).