They know all too well that this 50% plus one rule, which they say is sacred, is arbitrary, as evidenced by the fact that, on November 24, 1996, the day after a vote of confidence in the leader of the Parti Quebecois and current Premier of Quebec, a headline in La Presse read “Bouchard shaken up after finding out he does not have the confidence of one delegate out of four”.
Ils savent trop bien que cette règle du 50 p. 100 plus un qu'ils disent sacro-sainte, est aléatoire. À preuve, le 24 novembre 1996, au lendemain d'un vote de confiance au chef du Parti québécois et premier ministre actuel du Québec, on pouvait lire en manchette dans La Presse: «Bouchard ébranlé: un délégué sur quatre ne lui accorde pas sa confiance».