First, the Privacy Commission ruled in our favour but then determined that they were functus to force the release of the records, and then the Correctional Service of Canada deemed they could not verify that the consent still existed.
Tout d'abord, le Commissariat à la protection de la vie privée a jugé en notre faveur, mais il a déclaré qu'il n'avait pas compétence pour imposer la divulgation du dossier, et le Service correctionnel du Canada a estimé qu'il ne pouvait pas vérifier dans quelle mesure le consentement existait encore.