In my own country where, one might say, foreign languages are no longer taught, where history has become simply a background to current affairs and where Shakespeare is apparently too difficult for English students, those who say 'Yes, we may trust our governments to conserve our cultures' would perhaps be foolish.
Dans mon propre pays où, pour ainsi dire, les langues étrangères ne sont plus enseignées, où l’histoire est devenue une simple toile de fond aux affaires actuelles et où Shakespeare est apparemment trop compliqué pour les étudiants anglais, ceux qui diraient "Oui, nous avons confiance en nos gouvernements quand il s’agit de préserver nos cultures" se rendraient peut-être ridicules.