Considering that we are talking about 500 to 600 trillion cubic metres of gas in Canada and considering the return on the investment—today it would not be profitable, but in the case of future generations and, perhaps, given a certain kind of blackmail that will become more prevalent from year to year or decade to decade because fossil fuel sources are constantly diminishing and the more we burn the less there is left—we must find the alternatives sources that are out there.
Lorsqu'on parle de 500 à 600 trillions de mètres cubes de gaz dans le sol canadien et qu'on regarde la rentabilité de l'investissement, aujourd'hui, ce ne serait pas rentable, mais lorsqu'on parle des générations futures et peut-être d'un certain chantage qui va grossir, d'année en année ou de décennie en décennie, parce que les sources de pétrole fossile s'en vont en diminuant constamment—plus on en brûle, moins il en reste—il y a donc des sources alternatives qu'il faut trouver.