Ensuite, nous avons réduit les possibilités de pêche pour les céphalopodes, sur avis scientifique, et pour les petites espèces pélagiques, compte tenu de l’exploitation actuelle et des prévisions pour la flotte de l’Union européenne. Troisièmement, nous avons décidé d’une réduc
tion générale de la contrepartie financière – passant
d’une moyenne de 86 millions d’euros par an à 72,25 millions d’euros, moyennant toutefois une augmentation de la part réservée pour le soutien à la politique de pêche mauritanienne, de 11 millions d’euros par
...[+++] an en 2008-2009 à 20 millions d’euros en 2011-2012.