The ‘oil for food’ programme cannot constitute an alibi for the crime which is still being committed, since only a small part of the value of what Iraq is allowed to export returns as food and medicines, while the rest is retained for ‘compensation’ or remains frozen in Western banks, with Iraq unable to use it.
Le programme baptisé Pétrole contre nourriture ne peut servir d’alibi aux crimes qui continuent à se perpétrer, dès lors que seule une petite fraction des exportations permises à l’Irak revient sous la forme de produits alimentaires et pharmaceutiques, le reste étant retenu au titre de "compensations" ou gelé dans les banques occidentales sans que l’Irak puisse en profiter.