Copenhagen did indeed mobilise more heads of state than Kyoto, but it also created more divisions and, as a result, it turned into a scenario of ‘every man for himself’, where every state can set out their goals and, moreover, do so on a voluntary basis.
Si Copenhague a mobilisé davantage de chefs de gouvernement que Kyoto, ce sommet a aussi créé plus de divisions et, en conséquence, s’est transformé en un scénario du «chacun pour soi», où chaque État peut fixer ses propres objectifs et, qui plus est, le faire sur une base volontaire.