The Commission in 1997 also took the view that no state aid was involved in the relationship between the French Post Office, La Poste, and its express courier subsidiary Chronopost.
Par ailleurs, en 1997, la Commission a estimé qu'aucune aide d'État n'était en cause dans la relation unissant la poste française, La Poste, et sa filiale de service de livraison expresse Chronopost.