The world's derivatives markets, with total contracts reported as high $130 trillion, are an accident waiting to happen, and here the exposure of Canadian banks amounts to trillions of dollars—Stewart suggests $5 trillion—with a credit equivalent about double their total shareholders' equity.
Le marché mondial des instruments dérivés, avec des contrats totaux pouvant, selon certains rapports, atteindre jusqu'à 130 billions de dollars, sont un accident à en devenir, et ici, l'exposition des banques se chiffre à plusieurs billions de dollars—Stewart parle de cinq billions—avec un équivalent crédit qui à peu près le double de l'avoir total de leurs actionnaires.