Yet, interestingly enough, not one of the governmental leaders invoked the responsibility to protect doctrine at the time, where in a landmark declaration five years ago, the UN Security Council authorized international collective action “to protect [a state's] population from genocide, ethnic cleansing, war crimes and crimes against humanity” if that state is unable or unwilling to protect its own citizens, or worse, as in the case of Libya, if that state is the author of such criminality.
Pourtant, aucun des leaders gouvernementaux n'a invoqué la doctrine de la responsabilité de protéger. Or, il y a cinq ans, dans une déclaration historique, le Conseil de
sécurité de l'ONU a autorisé la prise de mesures collectives internationales afin de « protéger la population [d'un État] contre le génocide, le nettoy
age ethnique et les crimes contre l'humanité », si cet État est incapable de protéger ses citoyens, qu'il ne veut pas le faire, ou pire encore, si, comme dans le cas de la Libye, cet État est l'auteur de tels actes crim
...[+++]inels.