In light of the small-scale attacks, the UN Secretary General triggered, on March 21, a rarely used mechanism permitting him to launch an investigation into the alleged use of CWs in Syria, despite the fact that Syria was not, at that time, a state party to the Convention on the Prohibition of the Development, Production, Stockpiling and Use of Chemical Weapons and on their Destruction.
À la suite d'attaques de faible envergure, le Secrétaire général des Nations Unies a déclenché, le 21 mars, un mécanisme rarement utilisé qui lui permet d'ouvrir une enquête relativement à l'utilisation présumée d'armes chimiques en Syrie en dépit du fait que la Syrie n'était pas à ce moment-là un État partie à la Convention sur l'interdiction de la mise au point, de la fabrication, du stockage et de l'emploi des armes chimiques et sur leur destruction.