I do not think there is anyone in the Senate who could imagine a world without reading, without newspapers, books and magazines, not to mention the ever-accumulating mountain of research material needed for Senate committees and, like today, for debating the proposed legislation.
Je crois que pas un seul sénateur ne pourrait imaginer la vie sans lecture, sans journaux, sans livres et sans magazines, et c'est sans compter les nombreux documents d'information qui s'accumulent et sont nécessaires aux travaux des comités sénatoriaux et aux débats sur les mesures législatives proposées, comme celle d'aujourd'hui.