With the general government deficit having remained above the 3 % of GDP threshold since 2007 (3), and one of the highest public debt ratios in the EU, Greece has no room for a fiscal impulse, so as not to jeopardise further the long-term sustainability of public finances and the competitiveness position of the country.
Avec un déficit des administrations publiques qui est resté au-dessus du seuil de 3 % du PIB depuis 2007 (3) et un ratio d'endettement public parmi les plus élevés de l'UE, la Grèce n'a pas de marge pour recourir à une impulsion budgétaire, car celle-ci risquerait de compromettre davantage la viabilité à long terme des finances publiques et la compétitivité du pays.