In its judgment delivered today, the Court notes, first of all, that the Commission confined itself in its decision to differentiating internet‑based communications for the general public (‘consumer communications’) from communications for businesses (‘enterprise communications’) without adopting a position on whether it was necessary to identify, within the category of consumer communications, the existence of narrower reference markets.
Dans son arrêt rendu ce jour, le Tribunal constate, tout d’abord, que la Commission s’est limitée dans sa décision à différencier les communications par Internet pour le grand public (« communications grand public ») des communications pour les entreprises (« communications professionnelles ») sans prendre de position sur la question de savoir s’il convenait d’identifier, à l’intérieur de la catégorie des communications grand public, l’existence de marchés de référence plus restreints.