The defence attorney who launched that challenge contended that if she did not qualify as a person in terms of rights and privileges, then, as the office she held was a privilege, she was appointed illegally and no decision of her court could be binding.
Le procureur de la défense qui a lancé cette contestation soutenait que, si le juge ne pouvait être considéré comme une personne au plan des droits et des privilèges, alors, puisqu'elle détenait ses fonctions par privilège, elle avait été nommée illégalement et aucune de ses décisions ne pouvait être exécutoire.