It does seem to relate to this more fundamental point that, if you run a system that is essentially salaried, where the top consultants are salaried, having a private system alongside is a sort of safety valve or device for keeping morale up and keeping the specialists happy, which the purely public system would not.
J'ai l'impression que cette question nous ramène à un point plus fondamental selon lequel le maintien d'un régime privé en parallèle à un régime essentiellement axé sur le salariat, où les principaux médecins-conseils sont salariés, constitue une sorte de soupape ou de dispositif de sécurité qui permet de maintenir le moral et de faire en sorte que les spécialistes demeurent heureux, ce que le régime public au sens strict ne permettrait pas de faire.