Back in 1987, in response to the report submitted by the Deschênes commission, the government established a no-safe-haven policy for persons suspected of war crimes or crimes against humanity, regardless of when or where the crimes were committed.
En réponse au rapport présenté par la Commission Deschênes, le gouvernement a adopté, dès 1987, une politique par laquelle il refusait d'accorder asile aux personnes soupçonnées de crimes de guerre ou de crimes contre l'humanité, sans égard au lieu ou au moment où ces crimes ont été perpétrés.