In the U.S. case, in the 1960s resources from the U.S. to the developing world were approximately 70% ODA and 30% private resources, in various forms foreign direct investment, remittances, faith-based giving, and charitable giving. That, in essence, has flipped.
Du côté américain, dans les années 1960, les ressources que consentaient les États-Unis au monde en développement étaient constituées à hauteur de 70 p. 100 d'APD, les 30 p. 100 restants étant le fait de contributions privées, sous diverses formes — investissement direct étranger, envois d'argent, dons versés par des groupes confessionnels, et dons de charité.