Parliament is therefore no longer alone in opposing the Council and the Commission which, for years, have followed a short-sighted policy in respect of the People’s Republic of China, a policy which, as in the case of the Soviet Union, is based on collusion with a dictatorial regime, a communist regime.
Notre Parlement n’est donc plus seul à s’opposer au Conseil et à la Commission, à ce Conseil et à cette Commission qui poursuivent, depuis des années, une politique myope à l’égard de la République populaire de Chine, une politique fondée, comme dans le cas de l’Union soviétique, sur la complicité avec un régime dictatorial, avec un régime communiste.