It appears that State, although in the possession of pledges on the steel assets, did not request liquidation but agreed to write off parts of its debt, the precise amount of which will only be established after the realisation of the sale of assets in the future.
Il apparaît que l’État, bien que détenant des hypothèques sur les actifs sidérurgiques, n’a pas demandé la liquidation, mais a accepté d’abandonner une partie de ses créances, dont le montant précis ne sera établi qu’à l’avenir, après la réalisation des actifs.