Why, after all the studies and consultations, are we still facing a reality in which the majority of people with disabilities are unemployed or are out of the labour market, where only a third of children with intellectual disabilities are fully included in education, and where the rate of violence, abuse, illiteracy, ill health, etc., among this group is among the highest of any group in Canadian society?
Pourquoi, après toutes ces études et consultations, devons-nous encore faire face à une réalité dans laquelle la majorité des personnes handicapées n’ont pas d’emploi ou ne font pas partie de la population active, dans laquelle seulement un tiers des enfants ayant des déficiences intellectuelles sont pleinement intégrés dans le système d’éducation et dans laquelle les taux de violence, d’abus, d’analphabétisme, de mauvaise santé, etc. dans ce groupe se situent parmi les plus élevés de la société canadienne?