It thumbs its nose at its own charter in prohibiting collective bargaining just so that the Canada Post Corporation can pay it another $200 million annually in net benefits that it gives back to the government, which claims the corporation owes it money from back when it was not breaking even.
Il fait lui-même des pieds de nez à sa Charte des droits et libertés de la personne pour interdire la négociation collective, et tout cela, pour permettre à la Société canadienne des postes d'aller lui virer encore 200 millions de dollars annuellement de bénéfices net qu'elle vient redonner au gouvernement qui prétend, lui, avoir des créances à l'endroit de la Société canadienne des postes, pour le passé, à une époque où la Société canadienne des postes ne faisait pas ses frais.