Well, because there has been no evidence.Certainly we've have had an abundance of legislation, especially recently, that has increased the numbers of mandatory minimum sentences, which disproportionately do impact women—indigenous women, those with mental health issues—and we don't want to see anything that will contribute to that.
Eh bien, parce qu'il n'y a aucune preuve.Nous avons certainement adopté une abondance de lois, surtout récemment, qui augmentent le nombre de peines minimales obligatoires et qui touchent de façon disproportionnée les femmes — les femmes autochtones, celles qui souffrent de problèmes de santé mentale — et nous ne voulons pas qu'on adopte des mesures qui ne feront que perpétuer cette situation.