This also creates, in some cases, practical difficulties for police and other authorities for whom it may not be obvious whether data processing is to be purely domestic or cross-border; or to foresee whether 'domestic' data might become the object of a subsequent cross-border exchange.[28]
Il en résulte aussi, dans certains cas, des difficultés pratiques pour la police et d’autres autorités, qui peuvent avoir du mal à déterminer le caractère purement national ou transfrontière d’un traitement de données, ou à deviner si des données «nationales» sont susceptibles de faire l’objet d’un échange transfrontière ultérieur[28].