More recently, as Syria has pursued a more active engagement with the EU through participating in the Barcelona Process and signing a EuroMed association agreement, all areas of its domestic policy have been subject to intense international scrutiny, in particular its poor human rights track record and alleged holding of political prisoners, with deaths in custody and arbitrary arrests, the preventing of free assembly or of citizens from leaving the country, and, of course, the use of torture.
Plus récemment, la Syrie ayant recherché un engagement plus actif avec l’UE en participant au processus de Barcelone et en signant un accord d’association Euromed, tous les domaines de sa politique intérieure ont été soumis à une attention internationale soutenue, notamment en ce qui concerne son bilan peu glorieux sur le plan des droits de l’homme, les allégations de détention de prisonniers politiques, de morts en prison et d’arrestations arbitraires, l’interdiction de liberté de réunion ou de quitter le pays et, bien sûr, le recours à la torture.