The demographic forces at work are such that since the Dunton-Laurendeau Commission, the socio-economic situation of French-speaking Canadians living outside Quebec has greatly improved. However, this improvement has not necessarily benefited the vitality of the French language, as evidenced by the anglicization of many francophones.
Les forces démographiques en présence sont telles que depuis la Commission Laurendeau-Dunton, la situation socio-économique des Canadiens de langue française vivant à l’extérieur du Québec s’est grandement améliorée, mais pas nécessairement au profit de la vitalité de la langue française, comme en témoigne l’anglicisation de bon nombre d’entre eux.