History will judge the Bloc Québécois, but one thing is sure: had the major Canadian banks been allowed to merge, as the Liberals and Conservatives wanted them to be at the time, there would have been a high price to pay now for having done so, and Canada would not be among the first countries expected to emerge from this economic recession, quite the contrary.
L'histoire jugera le Bloc québécois, mais une chose est sûre, si les grandes banques canadiennes avaient eu, comme le souhaitaient les libéraux et les conservateurs à l'époque, la possibilité de se fusionner, aujourd'hui, elles en auraient payé gravement le prix et le Canada ne serait pas un des premiers pays à pouvoir se sortir de la récession économique, au contraire.