And with the way the bill is worded, unless they happen to have the properties of persistence in bioaccumulation—that's not necessarily the case with all endocrine disrupters—they would certainly go on to what's called track 2, as opposed to the virtual elimination track, regardless of how toxic they might actually be.
Et compte tenu du libellé du projet de loi, à moins que les substances en question n'affichent des propriétés de persistance et de bioaccumulation—et ce n'est pas nécessairement le cas de tous les perturbateurs endocriniens—elles seraient certainement versées dans l'autre voie, par opposition à la voie de la quasi-élimination, peu importe leur degré potentiel de toxicité.