Under the second theory, the constructivist theory, the political elites of candidate countries engage in pre-membership reforms not because it is in their interest to do so, but because they share the same democratic values and standards which lie at the heart of the legal and institutional reforms required by the European Union.
Les succès partagés du processus de stabilisation et d'association de l'Union européenne dans les Balkans indiquent toutefois que l'importance de l'adhésion, les programmes d'aide, le monitoring et les institutions de partenariat ne suffisent pas, dans certains pays, à convaincre les élites politiques de procéder aux réformes démocratiques.