This approach will mean farmers no longer have to present themselves as a charity case - instead, as commercially-minded businessmen working for a healthier environment and countryside, they can request their due from the European taxpayer with heads held high.
Ainsi, à l'avenir, l'agriculteur ne passera plus pour un bénéficiaire d'aumônes, au contraire, il pourra dignement exiger de ses concitoyens européens une compensation financière, comme entrepreneur axé sur le marché et comme prestataire de services dans le domaine de l'environnement et de l'espace rural.