I would suggest that the Canadian government take advantage of its ties with the European Union to ensure that the Privacy Commissioner is, in one way or another, associated with the work of what's called in the language of Brussels the Article 29 Working Party, which consists of all the European commissioners in the field and which is the centre of research, innovation and especially dialogue with the United States.
Je suggérerais que le gouvernement canadien profite de ses liens avec l'Union européenne pour faire en sorte que la commissaire à la protection de la vie privée soit associée, d'une façon ou de l'autre, aux travaux de ce qu'on appelle dans le language de Bruxelles le groupe de l'article 29, qui réunit tous les commissaires européens dans le domaine et qui est le lieu de recherche, d'innovation et surtout de dialogue avec les États-Unis.