Before the referendum, the Prime Minister was asking for support from his troops, his allies in Quebec, which is understandable, from his opponents in the House, the Conservative Party, and even from the Reform Party which he had made fun of for about two years.
Comment un homme peut-il promettre quelque chose pour le Québec lorsqu'il ne peut même pas donner de garantie pour sa propre circonscription? Avant le référendum, le premier ministre a demandé l'appui de ses troupes, de ses alliés au Québec, ce qui est compréhensible, de ses opposants à la Chambre, du Parti conservateur, et même du Parti réformiste, dont il s'était moqué pendant environ deux ans.