If we look at peace as the absence of fear, we find we are linked not only to those who, like us, fear nuclear expansion and explosion, and environmental destruction, but also to those who have reasons to fear a knock at the door, the disappearance of their loved ones, their children being kidnapped to become child soldiers, their women — young and old — being raped by United Nations peacekeepers and soldiers, their crops burned and the resulting famine that follows.
Si on considère la paix comme l'absence de guerre, force nous est de constater que nous sommes liés non seulement à ceux qui, comme nous, craignent la prolifération et l'explosion nucléaires et la destruction environnementale, mais également à ceux qui ont des motifs de craindre qu'on frappe à leur porte, que disparaissent des êtres chers, qu'on enlève leurs enfants pour les forcer à devenir des enfants soldats, que des casques bleus et des soldats des Nations Unies violent leurs femmes, jeunes et vieilles, et qu'on brûle leurs récoltes et que cela entraîne la famine.