Expanding the criteria to allow them as admissible evidence for custodial sentencing will reduce the attractiveness of admissions of guilt for extrajudicial sanctions for the youth, but will also deter police, we believe, from using them.
Si l'on élargit le critère pour que ces aveux soient admissibles en preuve au moment de la détermination d'une peine privative de liberté, ces aveux de culpabilité associés aux sanctions extrajudiciaires auront pour effet de dissuader, d'après nous, non seulement les jeunes, mais également les policiers, d'y avoir recours.