Examples include anti-poverty activists' use of comparison periods that show poverty in its worst possible light; failure to use comparison periods that show poverty as decreasing; low-income cut-offs that are not real poverty lines according to Statistics Canada; and a failure to show success stories.
Parmi les exemples qu'on peut citer, notons l'utilisation par les militants de périodes de comparaison présentant le portrait le plus négatif possible en ce qui concerne la pauvreté au Canada; le fait que ces militants ne se servent pas de périodes de comparaison qui indiquent une diminution de la pauvreté, leur utilisation de seuils de faible revenu qui ne correspondent pas vraiment au seuil de la pauvreté, d'après Statistique Canada, et le fait qu'ils ne parlent jamais des succès.