Having macro policies in place that significantly tax agriculture, as was done in country after country after country with 30, 40, 50 per cent taxes on agriculture through exchange rate over-valuation, high levels of protection, direct requisitions of food meant that the best project in the world was not going to work if there were no incentives to make farmers do what was desired.
Des politiques macro-économiques qui imposent un lourd fardeau fiscal à l'agriculture, comme c'était le cas dans presque tous les pays avec des impôts de 30, 40, 50 p. 100 sur l'agriculture, par l'entremise d'une surévaluation du taux de change, de hauts niveaux de protectionnisme, de la réquisition directe des aliments faisaient en sorte que le meilleur projet au monde n'avait aucune chance de réussir si les agriculteurs n'étaient pas incités à faire ce qui était souhaité.