Given that we know that women are the fastest-growing prison population, the chances of this information potentially impacting those who are most likely to be vulnerable, particularly in co-accused situations and situations where women's DNA may be evident, or may be part of an incident — they may not be the primary actors — may, in fact, lead to increased criminalization, as well.
Si l'on part du principe que la population carcérale féminine est celle qui croît le plus rapidement, il se peut fort bien que les données génétiques finissent par nuire à celles qui sont le plus vulnérables, entre autres lorsqu'il y a plusieurs accusés ou lorsque l'ADN de la femme est présenté en preuve — sans que ça n'en soit le principal élément — ce qui, dans les faits, peut aussi mener à la criminalisation.