Under the circumstances, the premiers decided to find a way to send a message to Quebec to the effect that they may be prepared to do something to please Quebeckers, because they do not want—and the Calgary exercise is primarily the result of this concern—the federalist party in Quebec, that is the Quebec Liberal Party, going into an election campaign with nothing but a promise to renew federalism and no concrete measures to support it.
Dans cette dynamique, les premiers ministres décident donc de trouver une façon d'envoyer un message au Québec, qu'ils sont peut-être prêts à cheminer et à aller dans un sens qui pourrait leur faire plaisir, parce qu'on ne veut pas—l'exercice de Calgary, c'est surtout ça—que le parti fédéraliste au Québec, soit le Parti libéral du Québec, aille en campagne électorale avec les mains vides, c'est-à-dire: «Regardez, on va renouveler le fédéralisme», mais qu'il n'y ait aucun écho nulle part à ce discours.