However, when we look at the standards of these ethics commissioners, we see that there should never be a situation where we have the highest ranking politician in Canada twisting the arm of the president of the federal Business Development Bank, who he appoints, who he can fire, and indeed we suspect did fire.
Mais quand on regarde les normes que doivent appliquer ces commissaires à l'éthique, on voit que jamais le politicien qui occupe le poste le plus élevé au Canada ne devrait pouvoir forcer la main au président de la Banque fédérale de développement, qu'il nomme lui-même et qu'il peut licencier—en fait nous soupçonnons qu'il l'a effectivement licencié.