He wanted to privatize Air Canada, first of all to protect its headquarters in Montreal, secondly to ensure that bilingualism was respected—not just messages on cassettes, but both official languages, and thirdly, to protect the overhaul and maintenance facilities.
Il voulait privatiser Air Canada, premièrement pour protéger le siège social à Montréal, deuxièmement pour assurer le respect du bilinguisme — il ne s'agit pas seulement des messages enregistrés sur cassettes —, donc des deux langues officielles, et troisièmement pour protéger les centres de révision et les centres d'entretien.