I would urge, given that we are concentrating so much on the need for recovery in Europe and the need to deal with the crisis we find ourselves in – which, of course, must be at the top of our domestic agenda – that we do not lose sight of the fact that 11 million children are dying each year in the developing world, five million of them because they do not have medicines we have had for 30 years.
Je voudrais insister, comme nous nous concentrons tellement sur la nécessité d’une reprise en Europe et sur la nécessité de surmonter la crise dans laquelle nous nous trouvons – ce qui, bien entendu, doit figurer en première place de notre agenda domestique –, je voudrais insister pour que nous ne perdions pas de vue le fait que onze millions d’enfants meurent chaque année dans le monde en développement, dont cinq millions parce qu’ils n’ont pas les médicaments dont nous disposons depuis trente ans.