Second, the crux of the problem is that the member for Charlesbourg did indeed contact members of the Armed Forces in this letter in order to indicate to them that-I have the t
ext here-if the yes side won in the October 30 referendum, the rights, salary levels and ranks of Quebec members of the Canadian Armed Forces would be recognized by the Government of Quebec which would have its own armed forces, like any other country, although obviously of limited size (1020) The reason this came up is that, during the referendum campaign, the federalists referred to precisely that matter, saying ``People will be losing their jobs, losing their jo
...[+++]bs because they are Quebecers and Quebec will become a sovereign country. And either there will be no armed forces in a sovereign Quebec or Canada will refuse to keep citizens of Quebec on as members of its armed forces''.Deuxièmement, quand on se réfère au fond du problème, ce qu'on remarque dans cette missive, c'est que le député de Charlesbourg a effectivement communiqué avec les membres des forces armées pour leur ind
iquer que-et j'ai le texte ici-advenant un oui au référendum, le 30 octobre dernier, les soldats québécois qui font partie de l'armée canadienne verraient toute leur prérogative, leur salaire, leurs échelons reconnus par le gouvernement du Québec, qui aurait une armée comme tout pays en a une, une armée restreinte il va sans dire (1020) Si on a parlé de cela, c'est que les fédéralistes, durant la campagne référendaire, ont justement parlé
...[+++] de cette question en disant: «Voilà des gens qui perdront leur emploi, voilà des gens qui, parce qu'ils sont Québécois, perdront leur emploi vu que le Québec deviendra un pays souverain et qu'il n'y aura pas d'armée dans un Québec souverain, ou que le Canada refusera de maintenir dans son armée des citoyens québécois qui en faisaient partie».