The government has been more Catholic than the Pope, as the expression goes, and forced farmers to accept drastic cuts in their subsidies, only to find themselves in a tough spot compared to American and European farmers who continue to be heavily subsidized.
On peut accuser le gouvernement d'avoir été plus catholique que le pape, comme on dit, et d'avoir forcé les agriculteurs à accepter des coupures draconiennes dans leurs subventions pour se retrouver Gros-Jean comme devant face aux producteurs américains et européens qui, eux, continuent à être subventionnés à tour de bras.