Converting rainforests, peatlands, savannas, or grasslands to produce food crop–based biofuels in Brazil, Southeast Asia, and the United States creates a “biofuel carbon debt” by releasing 17 to 420 times more CO2 than the annual greenhouse gas (GHG) reductions that these biofuels would provide by displacing fossil fuels.
La conversion des forêts humides, des tourbières, des savanes ou des prairies pour produire des biocarburants à partir de cultures vivrières, notamment au Brésil, en Asie du Sud-Est et aux États-Unis produit une quantité de CO 2 de 17 à 420 fois plus élevée que la quantité annuelle de GES évitée par le remplacement de carburants fossiles par des biocarburants.